Bienvenue dans la Cabane
C’est avec une joie absolument non dissimulée et parfaitement exultante que nous avons quitté le Terrier début octobre. Tu as pu apercevoir des brides de notre maison ici et là. Voici une visite complète de notre fière petite Cabane (120 m² la cabane quand même).
Voici la vue depuis notre rue. C’est une petite rue résidentielle à 1 kilomètre du centre Champlain, avec des petites maisons et un petit parc, dans le quartier de Lewis Creek. Le sentier du ruisseau Humphrey passe à quelques centaines de mètres de chez nous, c’est parfait pour se balader.
Ce qui tu vois ici, c’est la totalité du terrain. Nous avons une impressionnante bande de pelouse de quatre mètres de large qui fait le tour de la maison, et c’est tout. C’est toujours ça de pris pour la pelouse à tondre et les feuilles à ratisser ! On est tellement contents d’avoir un accès à l’extérieur direct et rien qu’à nous qu’on se serait bien roulés dans l’herbe de bonheur, mais les voisins sont quand même relativement près, il aurait été dommage de rater notre première impression.
L’entrée d’apparat nous entraîne directement dans la véranda (l’entrée du petit personnel est à l’arrière).
Celle-ci fait également office de pièce de
fouillis chenil débarras couture pour Martine. Et de solarium/serre les jours ensoleillés.
Dépourvue de chauffage, elle est bien évidement inutilisable pour la détente dès que le mercure baisse un peu trop, mais fait office de deuxième congélateur plutôt honnête.
La véranda passée, vous voici dans le couloir. Vous avez le choix entre monter à l’étage ou aller dans le salon. Tirez les dés pour décider de votre prochaine action.
Ce sera le salon. Parfait. Un des rares reproches que l’on fait à la Cabane est que le salon n’a qu’une petite fenêtre, ce qui le rend assez sombre malgré les murs gris clair. Mais après le Terrier, finalement, on relativise…
On adore les colonnes où nos dragons ont trouvé leur place ! Et je ne parle pas de Dora et Loki, mais bien de vrais dragons en fonte ramenés à la sueur de notre front de Chine. Ils en ont vu du pays, maintenant qu’on y pense.
Passons à la cuisine. Une vraie grande cuisine, avec assez de place pour mettre notre table. On ne la voit pas, mais elle est traversante Sud-Nord, avec deux fenêtres pour plein de lumière.
Vers l’arrière, une buanderie-toilettes et une entrée avec plein de placards et étagères et qui nous sert de sas pour éviter de contaminer la maison avec le froid hivernal quand on rentre le soir.
Revenons vers l’escalier, voulez-vous ? Vous admirerez les rayons du soleil qui arrivent directement chez nous. C’est fou comme certaines joies peuvent être simples.
Au sommet de l’escalier à gauche, une salle de bain céladon (on précise car tout a l’air jaunâtre sur les photos, or non) avec baignoire ET douche, s’il vous plaît.
Juste à côté, la grotte la tanière l’antre la niche le bureau de Martin. Où il ne fait pas bon le déranger. Murs jaunes, store baissé en permanence, ce lieu exsude des vapeurs maléfiques et il vaut mieux ne pas trop traîner dans les parages, l’occupant principal ayant tendance à mordre. Enchaînons.
Au bout du couloir, le bureau de Martine, qui travaille de toute façon la moitié du temps dans la véranda ou le salon ou à Workspace.
Et enfin, la chambre en soupente.
Vous savez tout ! On adore vivre dans cette petite maison juste grande comme il faut, qui n’a pas un seul angle droit du fait de son grand âge (125 ans au compteur quand même), où passent faisans effrontés et ratons-laveur dodus dans la pelouse au grand dam de Dora et qui nous promet de jolis apéros sur la terrasse. On vous fera un tour de l’extérieur quand celui-ci sera plus riant… dans six mois !
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